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Le projet

Le projet en quelques mots.

Mon projet  d’écriture est par choix plutôt artisanal.  Il s’inscrit dans la lignée de mon travail de militant associatif. J’ai au départ, pour me donner un peu de légitimité en tant que jeune auteur,  cherché à me faire éditer par une maison d’édition dédiée aux premiers livres. Et puis, au fur et à mesure de mon avancéee, je me suis donné la permission d’aller au bout de ma démarche. Etre là et où j’en suis, dans mon authenticité d’homme et mes prémices d’écrivain.

L’édition de mon premier livre a été  financée et rendue possible grâce à la confiance que m’ont accordé Fabien Faroux et Marie-Hélène Leclercq . Les ventes me permettront à terme, soit de pouvoir ré-éditer « Le monde est flou » soit d’éditer le deuxième grâce aux ventes du premier. Bref, merci à vous deux d’avoir amorcer la pompe à livre.

J’ai commencé à écrire “Le monde est flou” en avril 2019, qui petit à petit est devenu livre, à la suite d’une série d’effondrement dans ma vie perso et pro. Je n’étais plus à ma place, ni dans l’une, ni dans l’autre. Et pourtant, je ne savais rien faire d’autre, et dans l’une, et dans l’autre. Alors quoi ? Stopper net et sauter du train ? Non, bien trop têtu, beaucoup trop tard pour çà et puis, la suite du voyage m’intéresse de plus en plus.
J’ai d’abord commencé à écrire par besoin. Besoin de dire par où j’étais passé et là où j’en étais aux moments des premières lignes. Puis ensuite, les paragraphes s’enchaînant, j’ai écrit par envie, parce que pour moi, rien ne peut se faire par besoin alors que par envie tout est possible.

« Le monde est flou » est en partie  le récit de ce que j’ai vécu, de comment je l’ai vécu et de ce que j’ai pu en faire alors. Il s’agit d’un témoignage et non d’une vérité absolue qui vise, je l’espère, à partir d’un cas particulier, à parler du collectif. Il remet le handicap visuel à sa place dans ma vie, comme une épreuve parmi tant d’autres, même si, je dois bien avouer qu’il a prit beaucoup trop de place et que son empreinte a été profonde.
Depuis,  je continue à écrire et je prends beaucoup de plaisir à donner vies et réalités à de petites histoires d’amour, d’amitié, d’engagement, d’Utopie ou de dystopie. Mon deuxième livre “Du pays d’où je viens”  est un recueil de nouvelles paru en 2021. « Une journée presque ordinaire » et « La croisée des chemins » seront  les 3è et 4è livres à paraître en 2022 et 2023.
Mes 1er et 3è livres parle de handicaps et de différences, parce qu’il y a énormément à dire et à faire dans ce domaine et peut-être, grâce aux enseignements que j’en ai tiré, permettront-ils de faire avancer un peu les choses et de changer les regards.

Mon 2è livre « Du pays d’où je viens » n’est pas une critique politique contre la société des Hommes (enfin un peu aussi), mais un ensemble de textes aux horizons variés qui parlent d’Amour qui dure toujours, de la vie de tous les jours et de tous ces petits riens qui en font la saveur ou l’amertume.

La suite à écrire devrait être différente et se raconter en fonction des inspirations du moment, des rencontres avec des Anges, des Fées, des Elfes, des grenouilles ou des Licornes… A suivre donc !

 

Le choix de l’auto–édition !

Oui, c’est bel et bien un choix pour moi. J’admets que ça peut paraître contre-intuitif dans une société ou se faire éditer est un gage de qualité et à l’inverse, ne pas l’être ne veut pas pour autant dire que l’on ne vaut rien. Mes manuscrits ont été acceptés par plusieurs Editions, mais je crois que ce n’est pas mon chemin.

Quand j’ai commencé à écrire en  2019, je me suis dit que oui, j’aimerais bien être éditer et que quelqu’un s’ocupe de mes livres. Et puis au final, qu’il s’agisse de musique ou d’écriture, si tu ne te bouges pas, personne ne le fera a ta place, maison d’Edition ou pas. Alors pourquoi ne pas aller au bout de la démarche ? Je peux fixer le prix, le calendrier, ne pas avoir plus de pression que celle de bien et de toujours mieux faire. Je peux choisir les personnes avec qui j’ai envie de travailler, prendre le temps d’apprendre et aussi celui de me tromper. Et puis, j’ ai bien trop besoin d’autonomie et d’indépendance.

Malgré tout, je reste la quasi totalité de mon équipe de communication et je n’ai ni l’a capacité, ni d’ailleurs l’envie d’être partout à la fois. Alors, si mes bouquins vous parlent et qu’à votre tour, vous avez envie d’en parler autour de vous, n’hésitez pas ! Tous les coups de mains sont les bienvenus.

Prenez soin de vous et de vos rêves !

 

Le choix de l’imprimeur  ,

Imprimerie La Caladoise (Villeflerfranche sur Saône – 69)

Papiers | Environnement

Depuis Octobre 2005 notre imprimerie est labellisée « Print Environnement », ce qui signifie que nous retraitons nos déchets toxiques et que nous recyclons tous nos consommables. Nous confier la réalisation de vos travaux est pour vous la garantie que : vos exigences environnementales sont respectées,

Lire la suite -> http://imprimerie-caladoise.com/